The Stand-in Fell Into Unemployment Crisis - Chapitre 16
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Quelques jours plus tard, le président et Clair de Lune blanc sont sortis dîner, emmenant le remplaçant avec eux.
Clair de Lune blanc aimait emmener le remplaçant découvrir de nouveaux endroits. Cette fois, ils ont choisi un restaurant japonais que le remplaçant n'avait jamais essayé.
Pendant le repas, Clair de Lune blanc expliqua avec enthousiasme, le remplaçant répondit avec empressement, tandis que le président restait impassible.
Le président, impatient, dit : "Tu ne veux vraiment pas qu'il étudie ? Tu n'as pas vu qu'il a préparé des notes sur son bras pour réviser ?"
Clair de Lune blanc attrapa la main du remplaçant pour vérifier s'il révisait l’anglais ou les mathématiques. Il vit que le remplaçant avait des notes en anglais d'un côté et des notes en mathématiques de l'autre, c'était très équitable.
Soudain, quelqu'un s'approcha de leur table et salue chaleureusement Clair de Lune blanc et le président.
Immédiatement, les expressions de Clair de Lune blanc et du président changèrent.
Clair de Lune blanc devint subitement silencieux, baissa la tête et caressa sa tasse, tandis que le président fronçait les sourcils.
Le remplaçant comprit instantanément. C'était une histoire où quelqu'un aimait quelqu'un d'autre qui n'était pas amoureux de lui mais en aimait un autre.
La tenue de l'autre ressemblait à une deuxième génération décontractée, et ses paroles n’étaient pas très sérieuses. En pensant au goût de Clair de Lune blanc, le remplaçant se sentit triste.
En regardant le président, il semblait être quelqu'un de très honnête, ce qui rendit le remplaçant encore plus triste.
"Qui est-ce ?" demanda le deuxième génération décontracté en interrogeant le remplaçant sur son identité.
"L'assistant du Président Z," répondit le remplaçant.
"Oh ?" Le deuxième génération lui lança un regard taquin et lui serra la main.
Le remplaçant, qui avait rapidement remonté ses manches, serra la main du playboy avec une élégance d'assistant.
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Le deuxième génération était un camarade de lycée du président et de Clair de Lune blanc. Rencontrer un vieux camarade est rare, donc ils commencèrent à évoquer le passé.
Cependant, le deuxième génération et le président semblaient être des ennemis mortels. Au lieu d'évoquer le passé, le deuxième génération raconta uniquement des anecdotes embarrassantes sur le président.
Clair de Lune blanc essaya de défendre son ami, mais le président avait vraiment fait ces choses stupides. Au lieu de le défendre, Clair de Lune blanc donna au playboy l'occasion de se souvenir de plus de bêtises.
Le président restait imperturbable, vidant tasse après tasse de thé.
Le remplaçant restait calme face à tout cela.
Le deuxième génération dit que le président portait le mauvais uniforme, celui du collège.
Le remplaçant dit qu'il gardait encore son uniforme de collège, c'est une bonne chose d'être nostalgique.
Le deuxième génération dit qu'il s'était trompé de classe plusieurs fois.
Le remplaçant expliqua que c'était parce qu'il était concentré sur ses études, pas sur autre chose, c'est évident qu'il était studieux.
Le deuxième génération dit qu'il avait confondu un professeur avec un camarade et avait passé son bras autour de ses épaules.
Le remplaçant remarqua que cela montrait qu'il avait de bonnes relations avec ses camarades et qu'il s'intégrait bien dans sa classe.
Le deuxième génération dit qu'il se collait au mur lorsqu'il quittait l'école.
Le remplaçant souligna que c'était une expression de la jeunesse, ne pas vouloir être comme tout le monde.
Le deuxième génération dit qu'il avait oublié son discours lors d'une assemblée.
Le remplaçant dit que pouvoir prendre la parole lors d'une assemblée était déjà impressionnant.
Le deuxième génération: "Ne le trouves-tu pas un peu stupide ?"
Le remplaçant répondit sérieusement : "Une personne aussi maladroite devenue aussi excellente que le Président Z ; c’est vraiment impressionnant. J'admire beaucoup le Président Z."
La queue du président, qui était tombée, se redressa soudainement.
Le deuxième génération finit par s'ennuyer. "C'est vrai, Z est maintenant le président, pas comme moi qui suis juste un programmeur…"
Le remplaçant fut secoué.
Le président regarda nerveusement le remplaçant, craignant qu'il ne sorte immédiatement ses manuels et demande : "Pouvez-vous m'aider avec ce problème ?"
Mais il vit simplement le remplaçant saisir le bas de son pantalon à deux mains, ses doigts tremblants.
Le remplaçant endura.
Les yeux du remplaçant montraient la ferme ambition de résister aux tentations les plus meurtrières du monde pour le bien du leader.
Le président décida d'accorder une prime au remplaçant.
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Le remplaçant est allé aux toilettes, révisant ses mots de vocabulaire tout en se penchant sur le lavabo. Soudain, la porte des toilettes s'ouvrit et deuxième génération entra.
En voyant deuxième génération, le remplaçant fut rappelé à son professeur sans pitié, et son cœur se serra, ses mains tremblaient même un peu.
Deuxième génération, remarquant le froncement de sourcils du remplaçant, sourit malicieusement, une main appuyée contre le mur, et dit en riant : "Tu soutiens toujours Z, hein, petit O?"
Le remplaçant hocha la tête.
Deuxième génération s'approcha du remplaçant et chuchota : "Quel est ton lien avec lui?"
Les lèvres du remplaçant se serrèrent fermement, le regardant obstinément.
Deuxième génération, voulant briser l'illusion du remplaçant sur le président, ricana. "Savais-tu qu'il aime XX depuis des années?"
Le remplaçant frissonna à nouveau, regardant le deuxième génération avec découragement, comme si tout espoir avait disparu.
Deuxième génération était très satisfait de l'expression du remplaçant et partit.
Dans les toilettes, le remplaçant s'appuya sur le lavabo comme s'il avait perdu toute sa force.
Son cœur était douloureux, son professeur était juste là, mais il ne pouvait rien dire.
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Quand le remplaçant revint à sa place, deuxième génération était toujours là, tandis que le président avait quitté son siège pour répondre à un appel téléphonique.
Dès que deuxième génération vit le remplaçant revenir, il continua à se remémorer le passé. Cette fois, il ne racontait pas les bêtises du président, mais rappelait à quel point le président avait été bon avec Clair de Lune blanc par le passé.
Des petits-déjeuners livrés, des cadeaux surprises, et même se faire réprimander à la place de Clair de Lune blanc, le président avait tout fait. Deuxième génération racontait tout cela dans l'espoir de voir la réaction du remplaçant.
Et comme prévu, la réaction du remplaçant était exactement ce à quoi le deuxième génération s'attendait : une tête baissée, des yeux emplis de tristesse mais essayant toujours de paraître calme, ce qui donnait à deuxième génération l'envie de lui faire du mal.
Clair de Lune blanc se sentait mal à l'aise en écoutant tout cela et s'empressa de dire : "Tu nous envies notre amitié, n'est-ce pas?"
Mais deuxième génération continua à parler, et quand le président revint, il entendit à nouveau deuxième génération raconter ses antécédents sombres.
Le président paniqua immédiatement et regarda le remplaçant.
Le remplaçant, la tête baissée, n'affichait aucune expression.
Le président s'approcha prudemment du remplaçant par derrière, mais il vit que le remplaçant tirait discrètement sa manche à moitié, et était en train de réviser les mots sur son bras, ne prêtant aucune attention à deuxième génération.
Le président soupira de soulagement, mais il se sentit aussi un peu mal à l'aise. Pourquoi le petit remplaçant n'était-il pas jaloux aujourd'hui ?
Mais soudain, le président réalisa quelque chose !
Le remplaçant révisait des mots en anglais, pas les mathématiques !
Le petit remplaçant était vraiment en colère, ce qui rendit le président à la fois nerveux et un peu heureux.
Traduction: Darkia1030
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