LCBMG - Chapitre 1 - Arrête de pleurer

 

1Ne pleure plus

« Ne pleure plus ! » Qi Ming fronça les sourcils, ses traits réguliers, avec ses sourcils épais et ses grands yeux, prirent une expression féroce et autoritaire.

Tang Miao sursauta, si effrayé qu'il hoqueta, et pleura encore plus fort.

Qi Ming frappa la table de sa petite main. « Qu’est-ce qu’il y a à pleurer ?! »

« Ils… ils m'ont volé mes bonbons. » Tang Miao fit une moue, il avait des caries, ses parents avaient restreint sa consommation de bonbons, et les bonbons volés étaient ceux que son grand-père lui avait rapportés de l’étranger. Il n’en restait que quelques-uns.

Qi Ming était très agacé. Il n’avait jamais vu un garçon aussi pleurnichard. Il perdait souvent patience et ne pouvait pas contrôler sa colère. Mais il se souvenait que son père lui avait dit quand il réprimandait ses subordonnés : « Quand on tue un poulet pour effrayer les singes, le but est de donner une leçonau singe, pas au poulet. Si on doit trouver un coupable, il faut chercher celui qui est responsable.» (NT : idiome faisant référence à une méthode punitive où une personne ou un groupe est puni de manière visible afin d'effrayer ou d'intimider d'autres personnes)

Le coupable qui le mettait dans cet état ?

Très bien, qui a volé les bonbons de Tang Shui Shui ?

 

2Tang Shui Shui

Tang Miao se remit à pleurer.

Qi Ming serra les dents. « Et maintenant, qu’est-ce qu’il y a ? »

« Ils m'ont appelé Tang Shui Shui… » Tang Miao pleurait, essoufflé.

Qi Ming resta silencieux. Il semblait bien l’appeler ainsi aussi, mais un garçon qui pleurait autant, n’était-ce pas Shui Shui ? (NT : Tang () veut dire doux et Shui () eau)

« C’est à cause de ça ? » Qi Ming se demanda s'il allait lui donner un coup pour qu’il se taise.

« … Ils ont aussi dit que je ressemblais à une fille… » Les larmes de Tang Miao s’étalèrent directement sur son cahier de devoirs.

Qi Ming fixa son cahier, observant les mots devenir flous à cause des larmes.

Il entendit ses poings grincer sous l’effet de la tension.

Bien ! Qui a dit que Tang Shui Shui ressemblait à une fille ?!

 

3Les bonbons confits

« Tang Shui Shui. » Dès qu’il eut crié son nom, Qi Ming le regretta immédiatement. Que ferait-il si Tang Miao se mettait à pleurer en plein milieu de la rue ?

Qui savait que Tang Miao mordait un bonbon confit, et en voyant Qi Ming le fixer, il s’arrêta avec hésitation, « Tu veux en manger ? Je te le donne. »

Qui voudrait manger un truc comme ça ?! Qi Ming regarda le bonbon avec dégoût, où des empreintes de dents et de la salive se mélangeaient. « Tu peux le manger toi-même. »

Après un moment, Qi Ming demanda à nouveau, « Tang Shui Shui, pourquoi personne n’est venu te chercher aujourd’hui ? »

« Ah ? » Tang Miao cligna des yeux, murmurant doucement, « Je veux aller avec toi. »

Mais malheureusement, Qi Ming n’entendit pas. Il fronça les sourcils, puis dit avec agressivité, «Aujourd'hui, tu as pleuré tellement et je t'ai appelé Tang Shui Shui, et maintenant tu ne pleures plus ? »

Tang Miao sursauta à son regard menaçant, et des larmes commencèrent à se former dans ses yeux.

« Tu n'as pas le droit de pleurer ! »

« Oh. » Tang Miao renifla, retenant ses larmes, puis murmura : « Toi, tu es différent. »

Qi Ming leva la main pour lui pincer la joue, essayant de se calmer un peu. Il baissa la tête et mordit dans les aubépines confites que Tang Miao lui tendait. C’était à la fois acide et sucré. Il ne comprenait pas pourquoi certains garçons pouvaient aimer manger des trucs aussi… efféminés.

« Pourquoi cours tu ?! » Une voiture passa à toute vitesse devant Tang Miao, ce qui fit sursauter Qi Ming, qui, avec un haussement de sourcils, hurla.

Tang Miao fixa sa main, prise par Qi Ming, puis esquissa un sourire en coin. Bien que ses yeux tombants montraient qu’il n'était toujours pas content, il n'était pas aussi triste qu'avant.

Qi Ming, voyant son visage qui n'était pas sorti de ses pleurs, fronça à nouveau les sourcils en grognant. En effet, ces bonbons étaient trop sucrés.

 

4Ingratitude

« Pourquoi pleures tu ? » Qi Ming haussa un sourcil, fixant son camarade de toujours, depuis l'école primaire jusqu'au collège.

Les filles à l’avant se figèrent, effrayées, et entraînèrent leur amie en courant vers les toilettes.

« Je ne pleure pas. » répondit Tang Miao doucement, tentant de se défendre.

Qi Ming laissa échapper un "Hmpf", Tang Miao, qui s'apprêtait à retenir ses larmes, en laissa à nouveau tomber une.

"Je ne pleure pas."

Qi Ming desserra sa poigne et agita sa main devant lui de manière menaçante. Tang Miao renifla. "J'ai été réprimandé par le professeur Xu."

"Cette vieille femme t'a encore engueulé ? Pourquoi ?" Les yeux de Qi Ming s'agrandirent, il était en colère.

"Elle... elle a dit que je devais abandonner ce concours de rédaction."

Ah oui, la fille du professeur Xu était également dans leur année, dans la classe d'à côté.

"Et toi ?"

Tang Miao détourna les yeux, il n'osait soudainement plus regarder Qi Ming dans les yeux.

"Parle !" Qi Ming frappa impatiemment sur la table.

"Je... j'ai accepté."

Un bruit sourd, et tout le monde se retourna en entendant Qi Ming renverser sa chaise, le coin de la chaise s'écrasant contre le mur, se tordant dans une position anormale.

Qi Ming frappa son poing contre la table. En voyant Tang Miao faire une moue et recommencer à pleurer, sa colère monta soudainement de manière incontrôlable. "Putain ! Tu ne peux pas être un peu plus responsable ?!"

Résultat : les larmes de Tang Miao tombèrent encore plus fort.

Très bien ! Le nom de la fille du professeur était comment déjà ?!

Tang Miao ouvrit la bouche, regardant le dos de Qi Ming furieux, puis se précipita pour le rattraper. Il voulait lui dire qu’il n’était pas irresponsable.

Le professeur Xu avait dit que s'il ne renonçait pas au concours, elle changerait sa place à côté de Qi Ming, mais il ne voulait pas.

Il se sentait vraiment injustement traité.

 

5Ne sois pas en colère

Qi Ming avait été élevé dans une famille où on ne sous-estimait pas les femmes, alors il ne les frapperait jamais. Bien sûr, si elles demandaient qu’il parle avec douceur… Hmpf, ça attendra probablement la prochaine vie.

La petite fille ouvrit de grands yeux, elle ne comprenait toujours pas pourquoi le beau garçon de la classe d’à côté venait lui parler.

À l’époque, ce qui faisait craquer les petites filles, c’étaient les garçons grands, beaux, qui savaient être cool, qui se battaient bien et jouaient bien au basket.

"Tu as compris ?" Qi Ming se demanda si cette fille n’était pas un peu bête. Il avait parlé pendant un moment, et elle ne faisait que lui sourire bêtement.

Pourquoi souriait-elle ? Elle n’était même pas aussi jolie que Tang Shui Shui en train de pleurer.

La petite fille secoua la tête.

Qi Ming grimaça, "Je—dis—si tu as du courage, prouve-le et rivalise avec Tang Shui… euh, avec Tang Miao, mais ne laisse pas les gens te mépriser."

Tang Miao alla trouver Qi Ming, "A Ming, ne sois pas en colère. Je vais lui dire que je ne vais pas abandonner le concours, et lui dire aussi que je veux rester assis à côté de toi."

Qi Ming tourna la tête et regarda Tang Miao, qui avait encore les yeux rouges, puis tira violemment un mouchoir de sa poche, et lui essuya brusquement le nez.

"Essuie ça, tu es dégoûtant."

Xu Jiaqi reconnut le garçon qui marchait à côté de Qi Ming. C'était le premier de la classe d'à côté, il écrivait bien, semblait être un peu pleurnichard, et était plus pâle qu'elle (NT : un teint clair est un critère de beauté en Chine). Elle baissa les yeux pour regarder ses bras et soupira. C'était la première fois qu'elle commençait à se soucier de son apparence.

 

6Merci

"Merci, je t'invite à manger." Tang Miao avait gagné le premier prix de la ville pour son essai. Bien que ce ne soit pas le meilleur, c'était déjà très bien, et après avoir reçu son prix, il emmena Qi Ming manger.

Qi Ming ne sembla pas content, "Merci pour quoi ?"

Tang Miao en avait l'habitude, fit comme s'il n'avait pas entendu et lui tendit le menu.

"N'importe quoi." Qi Ming roula des yeux. En fait, leurs familles à tous les deux étaient assez bien loties, ils mangère,t de tout. C'était juste que sortir seuls pour un repas en tête-à-tête à l'occidentale les mettait un peu mal à l'aise.

Tang Miao regarda le menu plusieurs fois, jusqu'à ce que Qi Ming commence à taper du doigt sur la table, agacé. Alors, il se mit à à hoqueter, bien qu'il n'en ait pas envie, il ne pouvait tout simplement pas s'en empêcher.

Qi Ming se dépêcha de s'asseoir à côté de lui et lui couvrit la bouche, "Pas de pleurs !"

Tang Miao cligna des yeux, et lui donna le menu.

Qi Ming prit le menu, résigné, se demandant quel mauvais karma il avait bien pu accumuler dans sa vie précédente.

Heureusement, ce gamin n'a pas fini par pleurer. Si cela avait été le cas, Qi Ming se demandait s'il aurait dû se donner une claque. Qi Ming ne pouvait consciemment pas faire une chose aussi stupide.

 

7Blagues osées

Les frères du Huitang Qi (NT : litt. Hall gris de la famille Qi) n'avaient pas peur de se mesurer au jeune maître.

Bien que ce soit assez effrayant, Dieu seul savait d'où venait une telle force chez le jeune maître.

Alors, qu'est-ce qu'ils redoutaient le plus ?

Ils préféraient de loin affronter le jeune maître plutôt que d'enseigner les arts martiaux à son camarade de classe.

Ce n'était pas que Tang Miao était stupide. Il avait des bras et des jambes longs, et son corps était très coordonné, mais à ce moment-là, l'instructeur qui s'entraînait avec lui avait déjà une couche de sueur froide dans le dos.

"On en reste là pour aujourd'hui." L'instructeur relâcha rapidement ses mains et jeta un regard effrayé vers Qi Ming, qui observait depuis le bord du terrain.

"Merci, instructeur." Tang Miao était bien plus poli que leur jeune maître, mais de grâce, ne me parle pas et ne souris pas.

Comme prévu, Tang Miao lui sourit poliment, et les regards qu'il lui lança semblaient presque matérialisés.

"Instructeur, vous avez froid ?"

L'instructeur secoua rapidement la tête. "Ahem... Le jeune maître t'attend."

"Oh." Tang Miao tourna la tête et sourit encore plus largement à Qi Ming. L'instructeur se sentit un peu mieux, mais à la seconde suivante, Tang Miao trébucha avec son pied gauche et tomba immédiatement.

L'instructeur retint son souffle. C'était fini. Le gars qui avait ciré le sol allait probablement souffrir.

Qi Ming leva les sourcils, courut vers lui et le soutint, "Tu es stupide ? Hm ? Tu es stupide ? Ton cerveau est juste là pour décorer ? Parle !" Qi Ming le sermonna en le portant.

Tang Miao murmura pour le corriger, "C'est le cervelet qui contrôle l'équilibre."

"Tais-toi !"

Tang Miao regarda le bas de son crâne et pensa que Qi Ming était vraiment trop changeant. Il se demandait s'il serait capable de parler normalement un jour.

...

Qi Ming appliqua le médicament sur Tang Miao, "Tout à l'heure ça allait bien, non ?! Mon père est venu te voir et t'a même complimenté, je vois, c'était un compliment inutile !" L'inquiétude de Qi Ming était palpable.

"Hss..." Tang Miao renifla bruyamment, "Ça fait mal."

"Comment ça, ça fait mal ?!" Qi Ming réduisit un peu la pression, mais son ton resta mauvais. "Tiens bon."

"Oh." Tang Miao regarda les yeux concentrés de Qi Ming fixés sur ses genoux meurtris, son visage, habituellement charmant, était maintenant froncé de manière menaçante, et tout à coup, Tang Miao eut envie de rire.

Il se mit donc à rire.

Qi Ming baissa le bas de son pantalon, "…Tu pleures et rigoles, tu es une fille ou quoi ?"

"Pas du tout." Tang Miao fit la moue, " Tu ne l'as pas encore vu alors."

Qi Ming : "..."

Merde, mais d'où est-ce que Tang Shui Shui avait appris à faire des blagues aussi salaces ?

 

8Huitang Qi

Il y eut une période où les frères de Huitang Qi vivaient des moments difficiles.

Vous vous demandez pourquoi, alors qu'ils étaient pourtant de bons gangsters, devaient-ils respecter les règles, obéir aux lois et se montrer polis ?

« Vite, vite, éteignez les cigarettes ! » Alarme de niveau 1, le jeune maître et son petit camarade avaient tourné le coin de la rue, il ne restait plus que cinq minutes.

"Ahem..." La pièce entière se précipita, éteignant les mégots, certains ouvrirent les fenêtres, d'autres balayèrent les cendres, et certains cherchèrent même du parfum pour le pulvériser dans l'air.

Alors qu'ils pensaient avoir éliminé toutes les preuves, un bruit étrange émana soudain de la télévision derrière eux. L'homme le plus ancien s'énerva complètement, "Merde ! Quel idiot décérébré regarde du porno ? Tu es fatigué de vivre ?! Ferme ça tout de suite !"

*

Le nouveau venu jeta un regard timide au frère aîné qui l'avait introduit dans le gang, "C'est vraiment un gang ici ?"

L'aîné leva les yeux au ciel et, avec un air lourd, acquiesça. "Comprends un peu la loi, ça te servira plus tard."

Mené par les applaudissements impatients de Qi Ming, le petit auditorium, habituellement utilisé pour les réunions du gang, résonna de bravos.

Tang Miao rougit et fit une révérence de 90 degrés.

Qi Ming était étonnamment de bonne humeur. Après avoir simulé cela plusieurs fois, cette fois, en tant qu'élève exceptionnel, il ne pleurerait pas en allant faire son discours sur le droit à la ville, n'est-ce pas ?

 

9Ce que j'aime

"Je ne veux pas y aller." La voix de Tang Miao était basse mais ferme.

Son cousin cadet, Tang Su Huo, murmura, "Ce petit Miao Miao ne pleure même pas cette fois."

Le cousin aîné, Tang Su Qing, lui lança un regard noir, et Tang Su Huo ferma sa bouche, gêné.

La mère de Tang Miao ne savait pas quoi faire avec son précieux fils, "Mais avec tes résultats, entrer au deuxième lycée serait vraiment du gâchis."

Le père de Tang Miao le regarda pensivement, "Tu es sûr ?"

Tang Miao hocha la tête.

Le père de Tang, venant d'une famille de militaires et de policiers, s'exprima de manière concise."Raison."

"Je veux juste aller au deuxième lycée." Tang Miao se mordilla les doigts, retenant ses larmes. "Je promets que même en allant au deuxième lycée, je pourrai entrer dans la meilleure université."

"Pourquoi veux-tu entrer dans la meilleure université ?" Tang Zhan fit signe à son fils. C'était probablement la première fois que Tang Miao demandait quelque chose de manière proactive. Il pinça le bras de son fils, qui était assez musclé, puis montra un sourire. "Bien, c'est ça un vrai homme. Si tu veux quelque chose, bats-toi pour ce que tu aimes."

"C’est ce que j'aime." répondit Tang Miao sérieusement à son père.

On ne savait pas vraiment si ce qu’il aimait c'était l'école, ou quelque chose d’autre...

 

10Si bête

Les résultats du concours d'entrée au lycée étaient tombés, Qi Ming regarda la lettre d'admission de Tang Miao, identique à la sienne, et devint immédiatement furieux. "Tang ! Miao !"

Tang Miao regardait encore la lettre d’admission, tout content, pensant déjà aux endroits où il allait emmener Qi Ming s’amuser pendant les vacances.

Qi Ming jeta violemment la lettre d'admission au sol. Le petit frère à côté sursauta, courut dehors en hâte et se précipita pour annoncer la bonne nouvelle au maître, le deuxième lycée, une école qui a un taux d'admission de 60 % !

"Explique-moi ta lettre d'admission !"

Tang Miao avait un bonbon dans la bouche, et en parlant à moitié avec la bouche pleine, il dit : "La deuxième école, l'école est vraiment jolie, avec des murs en briques rouges et une grande horloge, on y est pas allés ensemble ?"

"Est-ce que c'est ça l'essentiel ?!" Qi Ming serra les poings de colère. "Tu es dixième de la ville, tu vas au deuxième lycée faire quoi là-bas ?!"

Les yeux de Tang Miao étaient en réalité très grands, mais avec les coins légèrement baissés, il semblait souvent triste. Mais sa tristesse était différente de celle de Qi Ming. Lui, il était triste pour lui-même, tandis que Qi Ming rendait les autres tristes. Et avec la brume dans ses yeux, il paraissait encore plus innocent.

"Je..." Tang Miao tourna les yeux, "Mais... j'ai dû faire une erreur en remplissant mes voeux, non ?"

Le père de Tang arriva joyeusement pour féliciter son fils, mais avant qu'il ne puisse dire quoi que ce soit, il entendit des cris venant de l'intérieur.

"Ah, ne me frappe pas."

"Pourquoi cries tu ? Est-ce que je t'ai frappé ?!"

"Wuuuuuu..."

"Pas de pleurs !"

"Tu... tu m'as frappé."

"Pas un cri de plus, dégage tes mains, laisse-moi voir où ça fait mal."

"Wuuu... hic..."

"Où ça fait mal ? Dis-moi !"

"Wuuu..."

"Pas de pleurs !"

"Mon pied."

"Je vais te masser, mais pas un cri de plus… Par contre, je t'ai frappé au pied ?"

"Je... je crois que je l'ai heurté contre le coin du bureau."

"Tang ! Shui ! Shui ! Tu es tellement bête !"

"C’est toi le bête !"

"Tu oses me répondre ?"

"..."

"Ok, ok, je suis bête, je suis bête, petit ancêtre, tu n'as pas le droit de pleurer à nouveau."

Le père de Tang tourna les talons pour partir, et en soupirant profondément, et devint soudain un peu inquiet. Xiao Tang Miao était vraiment adorable, mais que se passerait-il si un jour Qi Ming lui ramenait un gendre masculin ?

 

Traducteur: Darkia1030