The Stand-in Fell Into Unemployment Crisis - Chapitre 5

 

18

Le jours pendant lesquels il était un homme entretenu se sont déroulés sans heurts, le président se comportait normalement même s'il aimait dire des choses étranges de temps en temps. Et ce jour-là, le remplaçant réussit les matières de l'examen d'auto-apprentissage avec un score élevé, il sentait que tout déroulait convenablement selon son objectif.

Jusqu'au jour où le président l’appela soudainement pendant la journée.

 

Le président déclara : « J'ai réservé une chambre pour toi à l'hôtel. Prends quelques jours de vacances. Prépare immédiatement tes affaires. Le chauffeur viendra te chercher dans quelques instants."

Le remplaçant resta silencieux.

Le président, voyant qu'il ne disait rien, insista : "Je vais venir te chercher et revenir, ne réfléchis pas trop, ce ne sont que des vacances."

Le remplaçant resta encore silencieux.

Le président s'inquiéta : "Parle ! Tu pleures ? Écoute mes explications ! Juste ces quelques jours !"

 

Le remplaçant déclara alors.: "Je suis désolé, qu'est-ce que tu viens de dire ? Je suis allé chercher le contrat et je n'ai pas entendu."

Ce fut au tour du président de rester silencieux.

Le remplaçant nota: "J'ai confirmé que ce genre de voyage avec une destination précise doit être considéré comme un voyage d'affaires, pas des vacances."

Le président resta silencieux.

Le remplaçant continua: "Et demain, c'est mon jour de congé. Si je dois voyager pendant mon jour de congé…...... n'est pas le double du salaire ?"

Le président resta silencieux, le remplaçant devina qu'il était probablement allé chercher le contrat pour vérifier.

Pendant un moment, le président s'est mis à rire, puis il a raccroché.

Y a-t-il un problème ? Si tu ne paies pas, vous ne paies pas, à quoi bon rire, c'est bien de pouvoir rire ?

Le remplaçant rangea son ordinateur et le matériel pédagogique, prêt à se concentrer sur l'apprentissage au cours des prochains jours.

C'est à ce moment-là que la sonnette de la porte d'entrée retentit soudainement.

 

19

Le remplaçant pensait qu'il s'agissait du chauffeur, mais lorsqu'il ouvrit la porte, il vit un beau jeune homme.

Le beau jeune homme avait un sourire joyeux et doux sur le visage, et dégageait un air de personne bien née et éduquée.

Il s'agissait sans aucun doute du Clair de lune blanc, à en juger par sa tenue de vendeur d'assurances au porte-à-porte.

Le remplaçant invita le Clair de lune blanc à la hâte à l'intérieur, mais ce dernier déclara: "J'espérais lui faire une surprise, mais je ne m'attendais pas à ce que quelqu'un soit à la maison."

Le Clair de lune blanc ajouta : "Il n'aime pas les étrangers dans sa maison, il est rare qu'il embauche un domestique."

Le remplaçant hocha rapidement la tête en signe d'assentiment.

Le Clair de lune blanc tenait à la main une valise avec une étiquette d'enregistrement. Il semblait qu'il s’était rendu à la maison du Président immédiatement après être descendu de l'avion.

Le remplaçant n'osait pas le négliger. Il porta la valise pour lui, lui donna des pantoufles, le fit assoir, puis prépara rapidement du thé et servit des gâteaux.

Le téléphone du remplaçant sonna, le chauffeur est arrivé, le remplaçant demanda au Clair de lune blanc s’il avait besoin de quelque chose d’autre.

"Vous allez quitter le travail ? Ah ...... J'ai un vêtement taché". dit Bai Yueguang: "J'allais vous demander de vous en occuper pour moi."

Le remplaçant répondit rapidement: « Ne vous inquiétez pas pour moi. C'est juste une petite tache, vous n'avez donc pas besoin de l'envoyer au lavage, il suffit de le laver à la main."

Il demanda au chauffeur d'attendre et prit les vêtements du Clair de lune blanc pour le laver à la main.

Une fois que tout a été réglé, le remplaçant prit son sac et quitta le travail.

 

20

Lorsque le président est rentré chez lui, le Clair de lune blanc était seul dans la maison.

Tous deux ne s'étaient pas rencontrés depuis six mois, mais le Clair de lune blanc et le président étaient proches, comme d’anciens camarade de classe, comme s’ils ne s'étaient jamais séparés.

Après que le président ait franchi la porte, il regarda partout dans la maison.

Le Clair de lune blanc déclara : « Ton serviteur est très qualifié et le service est très attentionné.

Le visage du président se raidit : "Tu l'as rencontré ?"

"Je l'ai rencontré à mon arrivée."

"Ce n'est pas un domestique."

Le ton du président était rarement si dur, et le Clair de lune blanc se sentit perplexe, "Mais il a dit qu'il était le serviteur ah."

Le président resta sans voix.

Il restait sur la table un peu du gâteau que le Clair de lune blanc avait mangé, et le président y jeta un coup d'œil.

Le Clair de lune blanc remarqua : "Sachant que je revenais, tu as même préparé un gâteau pour moi, merci."

Comme le président ne disait rien, le Clair de lune blanc ajouta : "Cela fait trop longtemps que je n'ai pas mangé le gâteau de cette famille, je ne me suis pas retenu et j'en ai mangé deux autres morceaux, ça ne te dérange pas ?"

"Peu importe."

Le Clair de lune blanc sentit que le président était inexplicablement froid aujourd'hui.

 

Traduction: Darkia1030

 

 

 

Créez votre propre site internet avec Webador